Il n’y a pas eu de miracle pour le FC Nantes, mercredi, sur la pelouse du Parc des Princes. Condamné à l’exploit pour décrocher leur billet pour la finale de la Coupe de France, les Nantais ont été corrigés 3-0, concédant là leur 17e défaite de rang face à un club de la capitale. Pourtant, malgré le score, les hommes de Vahid Halilhodzic nourrissaient quelques regrets. La faute à un arbitrage sujet à caution.
Car si le premier but, inscrit par Marco Verratti, ne souffre d’aucune discussion, Nantes aurait pu (dû?) bénéficier d’un penalty dans la foulée après un contact entre Kalifa Coulibaly et Thiago Silva. Mais malgré l’utilisation de la VAR, M. Letexier en a décidé autrement. Ce que les Nantais avaient bien du mal à comprendre à l’issue de la rencontre. « Il y a faute à 100 %. C’est tout le temps comme ça, c’est le PSG », regrettait l’attaquant ligérien dans des propos rapportés par Ouest France.
Quand vous avez un arbitrage défavorable, ça devient mission impossibleEt les Nantais l’avaient d’autant plus mauvaise que cette faute dans la surface n’était pas la seule sujette à discussion. A l’heure de jeu, le PSG a en effet bénéficié, après utilisation de la VAR, d’un penalty pour une main involontaire de Nicolas Pallois. Et ce alors que Marco Verratti a échappé à la patrouille quelques minutes plus tard pour une action très similaire, le ballon ayant rebondi sur son bras après un contrôle de la cuisse.
« J’ai vu quelques images et je pense que l’arbitrage était un peu discutable, n’a pas manqué de souffler Vahid Halilhodzic à l’issue de la rencontre. C’est déjà extrêmement difficile contre le PSG, alors quand vous avez un arbitrage défavorable, ça devient mission impossible. »