Depuis que Roberto De Zerbi est aux commandes de l’OM, l’exigence est clairement montée d’un cran. Ainsi, quand un joueur ne donne pas satisfaction, il ne tarde plus à plier bagages dès qu’une occasion se présente… Mais pour Amine Harit, ce n’est pas la même chose.
Lilian Brassier, Ismaël Koné et Elye Wahi peuvent en témoigner, l’OM n’a plus de temps à perdre. Les nouveaux arrivants qui ne se greffent pas au projet marseillais en mode express ne sont plus autorisés à squatter la salle d’attente. La procédure a changé depuis l’arrivée de Roberto De Zerbi… Mauvaises performances, problèmes d’adaptation, marche trop haute ? Par ici le mercato et la sortie…
Amine Harit, un cas à part
Comme Brassier, Koné et Wahi, Amine Harit a lui aussi connu une période compliquée en fin d’année. Et lors du mercato d’hiver, on pensait que le milieu de terrain marocain allait partir. Mais son cas est différent des autres joueurs. Ce n’est pas Roberto De Zerbi qui est à l’origine de sa mise à l’écart. C’est tout simplement son corps et son état physique.
Une blessure qui dure…
Gêné par une blessure au mollet, Amine Harit a dû prendre le temps de se soigner. Et le staff médical ne souhaite pas se précipiter. La dynamique du vestiaire et les bonnes prestations des milieux de terrain incitent le corps médical a bien soigner le Marocain et lui permettre de mieux revenir, sans risque de rechute, comme cela commençait à être le cas en janvier. Le cas Harit n’est donc pas encore celui d’un joueur sur le départ mais plutôt celui d’un joueur blessé qui tente de revenir pour apporter un plus en fin de saison.
