Les observateurs, comme notre consultant Bruno Derrien, ancien arbitre international, pensaient que l'assistance vidéo tendrait à réduire les ceinturages et autres tirages de maillot dans le jeu et encore plus dans les surfaces de réparation. Mais entre faute et simulation, la frontière est tellement fine que l'arbitre peine à siffler davantage ces actes d'anti-jeu.