Le 30 mars 2026, le tribunal de commerce de Nantes rendra son verdict dans l’affaire du transfert d’Emiliano Sala du FCN à Cardiff. Une décision de justice qui peut avoir de lourdes conséquences pour Waldemar Kita. En cas de condamnation, l’homme d’affaires devra très certainement vendre le club pour éviter une déconvenue financière personnelle…
Le FC Nantes et Waldemar Kita risquent gros. Alors qu’Emiliano Sala a perdu la vie il y a près de sept ans, le tribunal de commerce de Nantes rendra son verdict dans l’affaire qui oppose le FC Nantes à Cardiff le 30 mars 2026. Pour rappel, alors recruté pour 17 M€ par Cardiff, Emiliano Sala est décédé lors d’un accident d’avion, alors qu’il rejoignait Cardiff City.
« Cardiff City accuse le FC Nantes d'être responsable »
Le 8 décembre dernier, une nouvelle étape de ce dossier a été franchie. Les avocats des deux clubs se sont retrouvés au tribunal de commerce de Nantes : « Nous ne communiquerons qu'après le délibéré ». À savoir que c’est le club anglais qui réclame une somme indécente au FC Nantes après ce transfert annulé. « Avec cette demande de 122 millions d'euros, Cardiff City accuse le FC Nantes d'être responsable, directement ou indirectement, de la mort d'un homme et vise la mort d'un club », explique alors l’un des avocats des Canaris.
Kita va devoir vendre ?
Une telle somme à verser pour le FC Nantes serait un véritable coup dur pour les Nantais et Waldemar Kita. Le président des Canaris, s’il devait verser 122 M€ à Cardiff, serait très probablement contraint de vendre le club. Une perspective terrifiante pour les supporters du FC Nantes, qui attendront cette date du 30 mars 2026 avec impatience.
