Au coeur de la réussite de Luis Enrique au PSG, il y a une nouvelle dynamique dans le vestiaire parisien. Un collectif qui tourne autour de 4 groupes d’affinités, qui s’entremêlent.
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Le grand changement, au sein du PSG, c’est la mentalité du vestiaire. Luis Enrique a insufflé un élan collectif comme jamais Paris n’avait réussi à l’installer, durablement. Depuis deux saisons, c’est une marque de fabrique : « Dès leur arrivée, les recrues sont sensibilisées à la nécessité de se plier au credo collectif de Luis Enrique, écrit le journal L’Equipe. L’entraîneur les avertit d’ailleurs que celui qui ne joue pas le jeu s’exclut de lui-même ».
4 groupes distincts
Dans le vestiaire, plusieurs groupes affinitaires se distinguent. Quatre sont identifiés, même si tous parviennent à s’entremêlent assez facilement. Le premier, ce sont les Portugais : Nuno Mendes, Vitinha, Joao Neves et Gonçalo Ramos. Proches des cracks de la seleçao portugaise, on retrouve également les lusophones brésiliens Lucas Beraldo (très ami avec Gonçalo Ramos) et Marquinhos.
Le gang des Titis parisiens
Le groupe des « Espagnols » est assez facile à remarquer car souvent ensemble, sûr et en dehors du terrain : Lucas Hernandez, Arnau Tenas, Willian Pacho, Fabian Ruiz et Kang In Lee, qui arrive de Liga. Arrive enfin les Titis Parisiens d’un côté (Zaïre-Emery, Mayulu, Mbaye, Kamara) et les Français (Kimpembe, Dembele, Barcola, Doué). Achraf Hakimi traîne aussi un peu avec la French connexion. À ce 4 groupe, des éléments assez libres comme Donnarumma, Kvaratskelia et Safonov s’entendent avec tout le monde et vont avec un peu tout le monde.
