Lors du dernier mercato, Luis Enrique s’est montré radical en stoppant net les négociations du dossier Donnarumma. L’entraîneur du PSG a tranché en montrant la porte de sortie à l’Italien et en misant sur Lucas Chevalier ensuite. Une nouvelle masterclass se dessine…

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La décision d’organiser le départ de Gianluigi Donnarumma, c’est celle de Luis Enrique. L’entraîneur espagnol a tranché dans le vif, cet été, face à des négociations compliquées. Et pour des raisons à la fois sportives et économiques, le patron du PSG a dit stop. Son envie de changer de gardien de but a pris le dessus. Radical, Enrique a mis un terme aux négociations et Paris a tout changé ensuite.
Le style Donnarumma ne convenait pas
Gianluigi Donnarumma ne s’attendait pas à cette fermeté de la part de son entraîneur. Pourtant, c’est bien Luis Enrique qui a sifflé la fin du bal et des interminables négociations sur son salaire et les bonus associés… Mais depuis plusieurs mois, le coach du PSG a émis des réserves sur le style Donnarumma, pas vraiment aligné avec ce que Paris propose en 2025. Si les performances de l’Italien ont été bluffantes et décisives, notamment en Ligue des Champions, son jeu au pied et son intégration au collectif durant le match n’était pas suffisante.
Chevalier, ça démarre très fort…
Pour la suite, le PSG a misé sur la nouvelle coqueluche du foot français au poste de gardien de but : Lucas Chevalier. Arrivé de Lille, le portier tricolore fait déjà des merveilles à Paris. Sur sa ligne, ballon au pied, dans les airs ou dans le vestiaire : Chevalier fait l’unanimité. Un dossier savamment maîtrisé par le goat Enrique. Un de plus…