Les déclarations assassines de Véronique Rabiot dans les différents médias français n’ont qu’un seul but : semer le trouble et le désordre à l’OM.

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La tournée des médias de Véronique Rabiot ne souffre d’aucun doute : la mère et agent du milieu de terrain de l’OM veut régler ses comptes. Et dans son style toujours très « particulier », elle ne mâche pas ses mots pour allumer Pablo Longoria, Medhi Benatia et Roberto De Zerbi. Selon elle, l’OM est coupable à 100% et doit payer. Un seul objectif : semer le chaos à Marseille.
Une ligne de défense… surprenante
Pour défendre son fils, Véronique Rabiot opte pour une ligne de défense étonnante : « Qu'est-ce que ça veut dire, ''violence inouïe'' ? Personne n'a été blessé, personne n'est allé à l'hôpital, il n'y a pas eu de nez cassé, pas de lèvres fendues. Pas de point de suture, pas de jours d'ITT, donc je ne comprends pas bien » . Si Jonathan Rowe n’a effectivement aucune trace visible, lui qui s’est envolé pour l’Italie et Bologne, les nombreux témoignages du vestiaire font état de comportements totalement inadaptés. Des attitudes qui justifient, à elles seules, l’exclusion d’un projet.
Et ça dérape…
Sur RTL puis à La Provence, Véronique Rabiot a multiplié les phrases chocs et les arguments douteux. Notamment en évoquant Mason Greenwood : « Lorsque Greenwood a signé alors qu'il avait tapé sa femme, De Zerbi a dit qu'on pouvait lui donner une deuxième chance. Je suis d'accord pour donner des deuxièmes chances aux gens, mais il n'y aurait que mon fils qui n'aurait pas droit à une deuxième chance ? » Une politique de terre brûlée qu’elle a déjà mis en place au PSG puis à la Juventus Turin. Méthode qui n’a jamais marché et qui n’aura pas, non plus, de prise à l’OM…